Chaque année, en partenariat avec d’autres associations, le centre Infor Jeunes Malmedy participe à une action mise en place à l’occasion de la CAMPAGNE RUBAN BLANC qui se déroule du 25 novembre au 6 décembre.re.
Si tu as des questions, n’hésite pas à contacter l’un des partenaires :
Le planning familial Infor Couple, l’ASBL Le Tournesol – Maison d’accueil, les Equipes Populaires de Verviers, , People’s Place, la bibliothèque de Malmedy, la zone de Police Stavelot-Malmedy, la CSC Liège-Verviers-Ostbelgien, la ville de Malmedy (via son Plan de Cohésion Sociale), l’asbl Options, AMAPAC et Infor Jeunes Malmedy.
25 novembre 1960 | Les trois sœurs Mirabal, Patria, Minerva et María Teresa, sont assassinées en République Dominicaine en raison de leur opposition à la dictature. En 1999, l’ONU choisit la date anniversaire de leur mort pour instituer la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.
6 décembre 1989 | 14 jeunes filles sont assassinées à l’Ecole Polytechnique de Montréal par Marc Lépine pour des motifs antiféministes. Profondément choqués par cet événement, des hommes ont commencé à porter le Ruban Blanc afin de signifier leur opposition aux violences faites aux femmes, peu importe la nature de la violence, qu’elle soit physique, sexuelle, morale, etc.
Depuis, le Ruban Blanc est devenu un symbole international porté par les personnes qui désirent signifier leur engagement personnel à ne jamais commettre de violence envers une femme et à ne jamais cautionner, d’une manière générale, les actes de violences contre les femmes.
25 novembre 1960 | Les trois sœurs Mirabal, Patria, Minerva et María Teresa, sont assassinées en République Dominicaine en raison de leur opposition à la dictature. En 1999, l’ONU choisit la date anniversaire de leur mort pour instituer la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.
6 décembre 1989 | 14 jeunes filles sont assassinées à l’Ecole Polytechnique de Montréal par Marc Lépine pour des motifs antiféministes. Profondément choqués par cet événement, des hommes ont commencé à porter le Ruban Blanc afin de signifier leur opposition aux violences faites aux femmes, peu importe la nature de la violence, qu’elle soit physique, sexuelle, morale, etc.
Depuis, le Ruban Blanc est devenu un symbole international porté par les personnes qui désirent signifier leur engagement personnel à ne jamais commettre de violence envers une femme et à ne jamais cautionner, d’une manière générale, les actes de violences contre les femmes.
VOUS AVEZ DES DROITS !
La violence conjugale est un délit puni par la loi. Celle-ci indique que la violence au sein du couple est punissable au regard du droit pénal même si les partenaires ne sont pas mariés (Article 410 du Code Pénal de la loi du 24 novembre 1997).
PARLEZ-EN !
Pour sortir de l’isolement, connaître vos droits, faire le point. Mais aussi pour vous protéger vous et vos enfants, en cas de récidive.
En parler mais à qui ?
A un membre de votre famille, un(e) ami(e), un collègue, à une personne de confiance qui vous écouteront avec bienveillance, sans vous juger, qui vous aideront à y voir plus clair.
Si vous ne voyez personne avec ce profil dans votre entourage, parlez-en à des professionnels. En fonction de leur champ d’action, on vous y proposera une aide médicale, administrative, sociale, juridique et psychologique ainsi qu’éventuellement un hébergement en maison d’accueil avec adresse confidentielle si vous vous sentez en danger.
Votre médecin traitant vous offrira un cadre de confiance, et délivrera un certificat médical attestant votre état physique et psychologique suite aux violences subies.
Des centres d’aide aux femmes en difficultés existent et pourront aussi vous proposer un soutien psychologique, des conseils et, selon le centre, un hébergement provisoire.
Les centres de planning familial vous offriront une écoute et une aide psychologique et parfois médicale.
Le numéro gratuit Ecoute Violences Conjugales 0800 30 0 30 vous accordera une écoute bienveillante vous permettant de mettre des mots sur une situation de violence.
Vous pouvez aussi contacter la police : il existe dans chaque zone de police un Service d’Assistance Policière aux Victimes, dont le personnel a suivi une formation spécialisée pour répondre à vos questions.
Ce service sera disponible pour vous écouter, vous orienter d’un point de vue personnel mais aussi au niveau de la procédure judicaire :
- Que représente un dépôt de plainte ?
- Que va -t-il se passer par la suite ?
- Quels sont les moyens pour vous protéger ?
- Quels sont vos droits ?
- …
Il est important de savoir qu’il s’agira d’un premier accueil sans avoir l’obligation de déposer plainte immédiatement. Le rythme de la victime sera respecté !
Vous souhaitez déposer plainte ? Vous pouvez le faire dans n’importe quel commissariat de police de votre zone de police ou non.
Quelles sont les conséquences du dépôt d’une plainte ? Le policier doit dresser un procès-verbal et en référer au parquet.
Ensuite, il vous expliquera ce qui va se passer pour vous et l’auteur.
Vous pouvez bénéficier de l’aide d’un(e) assistant(e) social(e) (Service d’Assistance Policière aux Victimes).
Selon l’appréciation du parquet :
- l’intéressé sera entendu par la police, remis en liberté mais avec un suivi, le magistrat décidant ensuite de poursuivre ou de classer,
- l’intéressé sera mis à disposition du parquet qui lui rappellera ce que prévoit la loi et ce qu’il risque, et, suivant sa réaction, il sera remis en liberté et/ou à la disposition d’un service de médiation,
- le juge d’instruction donne un signal fort, décide d’une mise en liberté avec conditions (éloignement du domicile, obligation de se soigner, etc..),
- Le Procureur du Roi décide d’une mesure d’éloignement urgente et immédiate, avec interdiction de contact avec la victime, pour une durée de 10 jours avant le passage devant le juge des familles,
- mandat d’arrêt sera décerné.
Pour joindre le Service d’Assistance Policière aux Victimes, veuillez téléphoner au 080/28 18 46 ou à l’accueil de la maison de police de Malmedy au 080/28 18 00.
En cas d’urgence, composez le 101.
Pour déposer plainte auprès de la Zone de police Stavelot-Malmedy, il est indispensable de prendre rendez-vous en suivant le lien ci-dessous : https://www.rdv.biz/widget/zone-stavelot-malmedy
La violence conjugale est un délit puni par la loi. Celle-ci indique que la violence au sein du couple est punissable au regard du droit pénal même si les partenaires ne sont pas mariés (Article 410 du Code Pénal de la loi du 24 novembre 1997).
Pour sortir de l’isolement, connaître vos droits, faire le point. Mais aussi pour vous protéger vous et vos enfants, en cas de récidive.
En parler mais à qui ?
A un membre de votre famille, un(e) ami(e), un collègue, à une personne de confiance qui vous écouteront avec bienveillance, sans vous juger, qui vous aideront à y voir plus clair.
Si vous ne voyez personne avec ce profil dans votre entourage, parlez-en à des professionnels. En fonction de leur champ d’action, on vous y proposera une aide médicale, administrative, sociale, juridique et psychologique ainsi qu’éventuellement un hébergement en maison d’accueil avec adresse confidentielle si vous vous sentez en danger.
Votre médecin traitant vous offrira un cadre de confiance, et délivrera un certificat médical attestant votre état physique et psychologique suite aux violences subies.
Des centres d’aide aux femmes en difficultés existent et pourront aussi vous proposer un soutien psychologique, des conseils et, selon le centre, un hébergement provisoire.
Les centres de planning familial vous offriront une écoute et une aide psychologique et parfois médicale.
Le numéro gratuit Ecoute Violences Conjugales 0800 30 0 30 vous accordera une écoute bienveillante vous permettant de mettre des mots sur une situation de violence.
Vous pouvez aussi contacter la police : il existe dans chaque zone de police un Service d’Assistance Policière aux Victimes, dont le personnel a suivi une formation spécialisée pour répondre à vos questions.
Ce service sera disponible pour vous écouter, vous orienter d’un point de vue personnel mais aussi au niveau de la procédure judicaire :
- Que représente un dépôt de plainte ?
- Que va -t-il se passer par la suite ?
- Quels sont les moyens pour vous protéger ?
- Quels sont vos droits ?
- …
Il est important de savoir qu’il s’agira d’un premier accueil sans avoir l’obligation de déposer plainte immédiatement. Le rythme de la victime sera respecté !
Vous souhaitez déposer plainte ? Vous pouvez le faire dans n’importe quel commissariat de police de votre zone de police ou non.
Quelles sont les conséquences du dépôt d’une plainte ? Le policier doit dresser un procès-verbal et en référer au parquet.
Ensuite, il vous expliquera ce qui va se passer pour vous et l’auteur.
Vous pouvez bénéficier de l’aide d’un(e) assistant(e) social(e) (Service d’Assistance Policière aux Victimes).
Selon l’appréciation du parquet :
- l’intéressé sera entendu par la police, remis en liberté mais avec un suivi, le magistrat décidant ensuite de poursuivre ou de classer,
- l’intéressé sera mis à disposition du parquet qui lui rappellera ce que prévoit la loi et ce qu’il risque, et, suivant sa réaction, il sera remis en liberté et/ou à la disposition d’un service de médiation,
- le juge d’instruction donne un signal fort, décide d’une mise en liberté avec conditions (éloignement du domicile, obligation de se soigner, etc..),
- Le Procureur du Roi décide d’une mesure d’éloignement urgente et immédiate, avec interdiction de contact avec la victime, pour une durée de 10 jours avant le passage devant le juge des familles,
- mandat d’arrêt sera décerné.
Pour joindre le Service d’Assistance Policière aux Victimes, veuillez téléphoner au 080/28 18 46 ou à l’accueil de la maison de police de Malmedy au 080/28 18 00.
En cas d’urgence, composez le 101.
Pour déposer plainte auprès de la Zone de police Stavelot-Malmedy, il est indispensable de prendre rendez-vous en suivant le lien ci-dessous : https://www.rdv.biz/widget/zone-stavelot-malmedy